Cette page décrit en termes italique, la relique du marginal qui se crée de diverses manières dans un pays où l’inégalité évolue. « Une histoire, une rue, un marginal », dis-je, ce droit d’utiliser ma plume photographe pour peindre le destin de ces gens normaux et plus humains lorsque je les parle, les écoute dans les murmures incessantes que ces bands de politiciens crasseux et merdiques de la maudite société prétendue bourgeoise et élitiste. Le destin d’un peuple qui a voté un tel gouvernement mérite d’être fusillé, tué, perdu, décapité de leur propre histoire. Ce sont eux, qui ont créés le fou, le prostitué, le prisonnier innocent, le macoute itinérant, le père voleur, la mère, l’homosexuel abusé par procuration d’argent…
Le Marginal est l’auteur des carrefours jours et nuits qui flashent le nomade du pays. Chaque quinze jour, je peindrai le tableau d’un marginal que ce pays a vu faire naitre. Dans le bas-fond et des tremplins noirs de ma plume et mon obturateur à la feinte d’argile, j’exposerai la douleur de ce petit peuple, par foule qui crie et distribue leur misère, leur peine…

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